Tournoi de Dubaï : Borges ne laisse que trois jeux à Fils
Nuno Borges a dominé Arthur Fils sans être inquiété au score (6-2, 6-1) mardi, lors du tournoi de Dubaï et se mesurera au vainqueur du match opposant le Kazakh Alexander Bublik et le Canadien Felix Auger-Aliassime au deuxième tour.

Le Portugais Nuno Borges s’est hissé au deuxième tour du tournoi de Dubaï, en dominant largement le Français Arthur Fils, tête de série n°8 (6-2, 6-1), à l’Aviation Club Tennis Centre de Dubai, mardi dans la matinée.
Borges, 38e mondial à l’ATP, sera confronté au vainqueur du match entre le Kazakh Alexander Bublik et le Canadien Felix Auger-Aliassime lors du deuxième tour de l’Open de Dubaï.
Les autres rencontres du premier tour à Dubai (ATP 500, Aviation Club Tennis Centre, dur, 3.237.670 USD, les résultats s’affichent du plus récent au plus ancien) :
- Gael Monfils – Matteo Berrettini : programmé mardi
- Christopher O’Connell – Grigor Dimitrov : programmé mardi
- Daniil Medvedev – Jan-Lennard Struff : programmé mardi
- Jiri Lehecka – Ugo Humbert : programmé mardi
- Quentin Halys – Andrey Rublev : programmé mardi
- Alexander Bublik – Felix Auger-Aliassime : programmé mardi
- Roman Safiullin – Tallon Griekspoor : programmé mardi
- Marin Cilic – Alex De Minaur : programmé mardi
- Luca Nardi – Marton Fucsovics : programmé mardi
- Giovanni Mpetshi Perricard – Zhizhen Zhang : 6-3, 7-6 [3]
- Stefanos Tsitsipas (N.4) – Lorenzo Sonego : 7-6 [4], 6-3
- Zizou Bergs – Aziz Dougaz (WC) : 6-3, 6-3
- Karen Khachanov – Daniel Evans (WC) : 6-1, 6-3
- Alexei Popyrin – Hady Habib (WC) : 6-2, 6-4
- Roberto Bautista Agut – Fabian Marozsan : 3-6, 6-3, 7-6 [4]
People in this post
Plus d’infos tennis
9 septembre 1969 : Le jour où Rod Laver a bouclé son deuxième Grand Chelem calendaire


8 septembre 2002 : Le jour où Pete Sampras a remporté l’US Open à la surprise générale


Alcaraz, injouable une fois de plus, rafle l’US Open et la place de numéro un mondial


7 septembre 1997 : Le jour où Hingis et Venus ont disputé la finale la plus jeune de l’histoire


Après le cauchemar de Wimbledon, Anisimova était encore trop nerveuse : « C’est quelque chose sur lequel j’essaie de travailler »

